Contre le bourrage de crâne. Vive la vie et le CO2 !

Jour après jour nous sommes assaillis par les media qui nous prédisent l’apocalypse… Températures au dessus des normales mais jamais au dessous, neige et absence de neige, pluies et inondations, sécheresses et incendies, niveau des mers et glaces polaires, tempêtes ouragans et tornades, voilà le menu du changement climatique qui nous menace ! Et le coupable c’est le CO2, le fameux gaz carbonique présent pour 0,04 % dans l’air.

Pourtant ces événements météorologiques ne sont pas inconnus dans le cours des saisons et des lieux. Tous se retrouvent dans l’histoire de la Terre, déjà été vécus et racontés par des témoins, ou mesurés et leur fréquence analysée : statistiquement ils ne sont ni plus fréquents ni plus violents mais de cela les media n’en ont cure. Il faut faire peur comme le prône Greta Tunberg pour mobiliser la population. Même si personne ni aucune expérience n’a jamais prouvé si le CO2 et ses amis les GES, les gaz à effet de serre, sont coupables !

Pourtant le CO2 c’est d’abord lui qui nourrit la végétation, un gaz que nous respirons tous, qui injecté dans des serres végétales accroît la productivité des cultures. Un gaz qui a varié dans le passé en étant parfois plus présent qu’aujourd’hui. Et qui dans le passé n’était qu’une conséquence du réchauffement et non sa cause, et bien incapable d’un emballement si la température croît, comme au temps des dinosaures. Hélas, le CO2 est devenu un ennemi. Pire, un poison ! Les media l’appellent polluant alors qu »il est à la base de la vie sur Terre. Et le réchauffement actuel dont il est accusé est faible : 1,3° depuis 1850 en 170 ans selon les organismes officiels, le CRU britannique et le Hadley Center.

Mais la médiatisation est la plus forte : journaux, radio et TV n’invitent jamais ceux qui ne croient pas à la légende du CO2. Radio France interdit à ses journalistes de débattre sur ce sujet !

Eh bien voici deux livres passionnants qui vous aideront à lutter contre le matraquage médiatique. 
Sapiens et le climat nous raconte comment l’histoire de l’homme a été rythmée par une successions de climats parfois beaucoup plus sévères qu’aujourd’hui. Olivier Postel-Vinay a été longtemps rédacteur en chef de La Recherche, magazine scientifique, il est membre du comité scientifique de L’Histoire.
La Saga de l’effet de serre radiatif fait le point sur les théories des transferts radiatifs qui sont à la base des modèles informatiques décrivant le futur du climat. Ce livre démontre les incohérences de ces outils et leurs contradictions flagrantes avec les lois physiques et les observations.

Sapiens et le climat – Olivier Poster-Vinay

On y apprend que Sapiens affronta les premières méga-sécheresses de l’histoire de l’humanité, que la civilisation romaine fut emportée par un changement climatique majeur, et que les Vikings s’installèrent, à la faveur d’un optimum médiéval, pendant quelques centaines d’années au Groenland

La saga de l’effet de serre radiatif – Maurice Hadrien

Les émissions anthropiques de CO2 seraient responsables du réchauffement climatique. Les logiciels de calcul nous prédisent l’apocalypse ! Or ils contredisent les observations ou aboutissent à des incohérences ! Dans cet ouvrage, il est montré que la thermodynamique et les lois du corps noir rendent caduques le modèle « d’effet de serre radiatif » sur lequel ils sont basés. Il n’y aurait donc plus de lien entre la concentration de dioxyde de carbone de l’atmosphère et le réchauffement climatique.

EN BREF :Si on observe les variations du passé grâce à la paléoclimatologie, les carottes de glace du pôle sud et du Groënland montrent deux courbes semblables, mais le CO2 croît après la température ! Autrement dit, c’est le réchauffement qui produit une augmentation des GES et non l’inverse.  Ensuite, lorsque la température décroit le CO2 se dissout à nouveau dans l’eau. Ce qui montre qu’il n’y a pas d’emballement qui se serait produit si le CO2 était le coupable.

Sur Futura Sciences on peut lire ceci :

(…) des et de sédiments marins prélevés à l’endroit le plus froid de la planète révèlent désormais que la barre des 400 ppm a en fait été dépassée pour la dernière fois il y a trois millions d’années, durant le . Les températures étaient alors 3 à 4 °C plus élevées, des arbres poussaient en Antarctique et le niveau des océans était 15 mètres plus haut.

Ces analyses sont corroborées par un nouveau développé par le Potsdam Institute for Climate Impact Research (PIK). « La fin du Pliocène est relativement proche de nous en termes de niveaux de CO2, explique à l’AFP Matteo Willeit, chercheur au PIK et principal auteur d’une étude publiée cette semaine. Nos modèles suggèrent qu’au Pliocène il n’y avait ni cycle glaciaire ni grosses dans l’hémisphère nord. Le CO2 était trop élevé et le climat trop chaud pour le permettre ».

Autrement dit, le CO2 actuel ne fait plus l’effet attendu des GES. Au Pliocène lorsque le CO2 était aussi élevé qu’aujourd’hui, il n’y avait aucune calotte glaciaire, des arbres poussaient en Antarctique et le niveau des mers était 15 m plus haut qu’aujourd’hui.

MORALITÉ : Notre CO2 ne vaut pas un clou, il est à l’agonie ! Dieu ait son âme

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