Raymond Devos, bonne chance dans le Néant !

Bienvenue dans le Rien

Cher Raymond, les dieux t’attendent, ils t’accueilleront avec déférence et respect, car tu les surpasses tous !

Thor, Odon, Toutatis et Jehovah, Dieu le Père et Allah, Jupiter et Neptune, Jésus Christ, Bouddah et Cie, tous plus inexistants les uns que les autres vont t’offrir l’apéritif divin que tu mérites, onze mille vierges sinon plus ! Tu vas pouvoir tourner en rond pour l’éternité autour d’une place verrouillée par les sens interdits, discuter sans fin avec l’Oie de Louis (l’Oie de 1901) et t’offrir trois fois Rien d’infini. Toi qui as si bien collaboré au Néant, tu vas t’y trouver comme un poisson dans l’eau.

Te voilà dans le vide à jamais, toi qui as si bien rempli ta vie et les nôtres de nos absurdités, miroir de nos incohérences. Rassure-toi, la bêtise dont tu as fait tes choux gras n’est pas prête de disparaître. Espérons que d’autres prendront ton relais et continueront la dure tâche de l’exploration du RIEN.

JM Le Tallec
Président du RIEN

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2 réponses à Raymond Devos, bonne chance dans le Néant !

  1. Anonyme dit :

    Une vieille anecdote De l’esthète Devos
    Lors de sa scolarité, Raymond n’a pas toujours brillé, loin de la ! Par un sadisme coutumier de la gent instituteuse, un pourfendeur de la faute d’orthographe, de l’erreur de calcul et de la déclamation poétique aproximative, avait un jour suggéré à notre humoriste, de se fondre, pour une foi, parmi les lumières de la classe (de CE-2), lors d’une partie de ballon prisonnier en lui disant :

     » mélez-vous, Devos, aux néons !  »

    Préférant le mépris plutôt que de céder à la provocation, Raymond, faisant semblent d’être trés occupé et absorbé répondit :

     » M’hélez vous ? Devos s’affère !  »

  2. Lozérix - Capitaine ad-hoc de la Marine Gabale dit :

    Une vieille anecdote De l’esthète Devos
    Lors de sa scolarité, Raymond n’a pas toujours brillé, loin de la ! Par un sadisme coutumier de la gent instituteuse, un pourfendeur de la faute d’orthographe, de l’erreur de calcul et de la déclamation poétique aproximative, avait un jour suggéré à notre humoriste, de se fondre, pour une foi, parmi les lumières de la classe (de CE-2), lors d’une partie de ballon prisonnier en lui disant :

     » mélez-vous, Devos, aux néons !  »

    Préférant le mépris plutôt que de céder à la provocation, Raymond, faisant semblent d’être trés occupé et absorbé répondit :

     » M’hélez vous ? Devos s’affère !  »

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